Dans le ciel, deux fois par an, les grues à tire-d’aile
Deux fois par an, à la fin de l’hiver et à l’automne, le ciel de ce coin des Landes est strié de longs filaments en forme de V ou de W qui remontent ou descendent bruyamment vers les Pyrénées. Ce sont des grues. Les vols peuvent compter plusieurs centaines d’oiseaux. Souvent, on les entend avant de les apercevoir. C’est un spectacle fascinant qui donne envie de s’évader.
Sur le sol, le petit peuple animal
Une zone humide ferme la partie basse de l’arboretum. Au printemps les iris sauvages colonisent les lieux. Des salamandres y ont élu domicile depuis des années.
Le Bassecq et ses habitants
Le ruisseau qui longe l’arboretum accueille une faune variée. Des canards colvert mais pas que… Des hérons fréquentent parfois le lieu. On parle également d’écrevisses et de tortues.
Le chevreuil, un hôte encombrant et gracieux
Le chevreuil est un animal magnifique, racé et puissant. Mais pour les jeunes arbres, c’est une calamité. Il croque les bourgeons du sommet et se frotte aux troncs encore souples au point de tuer l’arbre.
Les vestiges d’un ancien moulin à eau
Cette partie du lit du Bassecq abrite les vestiges d’un ancien moulin à eau. Il figure sur le plan cadastral de Napoléon III avec sa réserve d’eau. Aujourd’hui, ne subsiste de part et d’autre du ruisseau que quelques pierres et une jolie cascade qui coule en permanence.