Premières plantations au « jardin d’essai » par l’INRA, en 2013

Un verger et des bois

L’arboretum avant l’arboretum

Avant l’installation des premiers arbres le site est une vaste prairie que sa pente trop raide rend impropre à la culture du maïs. Y pousse une végétation sauvage où dominent les saules, les chênes, les noisetiers ainsi que des frênes.

C’est un havre de paix pour les chevreuils

Au fil des années, les arbres s’installent

Les premières plantations datent de 2012. C’est dire que ces arbres – liquidambars, tulipiers, bouleaux, ginkgos, cyprès, érables… – atteignent aujourd’hui une taille respectable même si certains d’entre eux n’ont pas survécu aux sècheresses des dernières années. A l’automne, ils prennent de magnifiques teintes rouge, or, orange.

Érables à sucre et liquidambar sont les premiers occupants

Vue de la partie haute de l’arboretum

Le jardin d’essai, une dizaine d’années après les premières plantations. Une forêt s’installe.

Le jardin d’essai

L’Inra est le partenaire de ce projet destiné à étudier le comportement d’essences non indigènes dans le cadre du changement climatique. Le terrain nettoyé à l’aide de puissants tracteurs forestiers, la clôture contre les chevreuils installée, la plantation d’arbres commence. Elle s’étalera sur deux années – 2013 et 2014 – à partir de graines sélectionnées venues de divers pays.

Pas moins de 1 500 arbres, représentant une quarantaine d’essences, ont été plantés en alignement venus d’une dizaine de pays. Ils sont plantés par groupe homogène de 12 taxons.

La préparation du terrain avant les premières plantations